Quelques jours à Vilnius - Héritage artistique & renouveau alternatif

Il occupe une maison de la vieille ville, dont les origines remontent au XVe siècle. La décoration cite ici et là cet ancien temps, en découvrant une arcade, un mur de pierre, une baie aveuglée. Pour le reste, il s’agit d’aujourd’hui. Les éléments historiques ont été intégrés à un ensemble contemporain de forme et d’intention. Une verrière couvre la cour intérieure, laquelle fait désormais office de lobby. Peinture, sculpture, l’art s’invite à tous les étages et dans toutes les pièces. Votre chambre bénéficie, outre ce parti pris esthétique, d’un niveau supérieur d’équipement. L’opulente literie et le bow-window font un peu anglais (une référence assez fréquente en Lituanie). Et vous voilà pris entre l’agrément du confort et les stimuli arty. Son excellente position et sa cuisine cosmopolite vont décidément de votre adresse lifestyle le pied-à-terre parfait pour un séjour urbain.

Déjà prévu au programme

Vilnius « like a friend » - Le désormais célèbre héritage artistique de Vilnius, et la non moins fameuse impénétrabilité des langues baltes, réclamaient ces quelques heures en compagnie d’un ami local parlant français et possédant l’histoire et l’actualité de sa ville. On se fait fort de vous acclimater ainsi aux façons lituaniennes. Rien de préconçu, mais une rencontre et un échange autour des attentes, des désirs, des engouements. ce qui permet de ne pas tâtonner inutilement et de réunir des informations utiles pour le voyage.
Le château de Trakai en privé - À une trentaine de kilomètres à l’ouest de Vilnius, Trakai est une ancienne capitale du grand-duché de Lituanie. Elevant ses murs de brique rouge sur une île du lac de Galve, le château principal épate. Construit aux XIVe et XVe siècles, il a eu l’histoire mouvementée des forteresses-clés, qui passent d’un glaive à l’autre au gré des vicissitudes de la guerre. Très endommagé au XVIIe siècle, il fut laissé à l’abandon. Des projets de restauration voient le jour au XIXe siècle et un gros chantier, entre 1951 et 1961, en fait ce que l’on voit aujourd’hui : un rêve d’architecture militaire de la fin du Moyen Âge.
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