Idée voyage 100% personnalisable
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Nuit à bord, arrivée le lendemain.
Accueil à l'arrivée et transfert privé. Votre hôtel, dans le quartier d'Eros Park, occupe un bâtiment au modernisme immaculé et aux cours minérales. À l’intérieur, coussins chic et photos animalières ajoutent aux murs blancs et à la toile grège silhouettes et couleurs. Les chambres offrent un confort contemporain. La piscine fait dans le dallage un rectangle net et bleu. Au restaurant, une cuisine à la fois namibienne et internationale de qualité.
Déjà prévu - Un moment dédié avec notre concierge francophone sur place, pour un brief de votre voyage. Et la livraison à l'hôtel de la voiture de location.
Route pour le nord. Nuit dans la réserve d’Okonjima, au sud d’Otjiwarongo. Le lodge vous met en prise directe avec le bush. Architecture moderne et transparente. De larges baies font de l’édifice entier un poste d’observation. Les chambres sont simples et confortables. Le grand salon est à l’honneur du design africain contemporain. Et la table répond du tac au tac. Dehors, piscine et boma, l’enclos traditionnel où l’on se réunit, le soir, autour du feu, pour partager ses émotions animalières.
Au programme - Sur la piste du léopard. Le léopard et la hyène brune coulent des jours heureux dans la réserve. On en étudie le comportement et on s’attache à leur assurer des conditions favorables. À bord d’un véhicule aménagé, accompagnés par des rangers anglophones, vous allez à leur recherche avec de sérieuses chances de succès, malgré leur furtivité. Ce sont de splendides animaux.
Route pour Etosha centre. Installation pour trois nuits au sud d’Okaukuejo. Votre lodge tranche avec l’ordinaire. Il semble fait de bric et de broc, improvisé dans ses formes et ses couleurs, plus urbain que nature, extraverti, rompant avec un respect compassé de l’environnement. Ce n’est, bien entendu, qu’un effet de surface : rien n’est improvisé, mais l’atmosphère y gagne quelque chose d’effervescent et gai. Les logements sont sobres, le mess est tout à fait agréable, tout comme le bar où prendre un verre, pourquoi pas avant ou après une soirée autour du feu qui permettra d’aborder la Namibie sous un autre angle. Enfin, la piscine est une ressource lorsque l’on rentre du bush aux heures chaudes.
Déjà prévu - Safari matinal. Paysages immenses, flore et faune riches et équilibrées : le safari en véhicule ad hoc, organisé par le lodge, s’impose. Au lever du soleil, les animaux secouent les voiles de la nuit et se mettent en quête d’une bonne lampée et d’un casse-croûte. On embarque alors avec un ranger anglophone et on va surprendre bubale, impala, éland, gnous et autres lion, guépard, panthère, chez eux. Dans le chromatisme duveteux du matin, les rencontres touchent. Les pisteurs sont de première force ; ils connaissent leur affaire et ne vous laissent pas bredouille d’émotion. En outre, puisqu’ils sont bons lecteurs de la brousse, ils vous en donnent les premiers éléments de grammaire. Ainsi comprenez-vous mieux le livre de la nature.
C’est au lac salé d’Etosha Pan et à ses abords que l’on a accès. Ce qui a au moins deux avantages pour l’observation. Le premier étant un relief plat ; les seconds, des points d’eau potable localisés. Ainsi aperçoit-on les animaux de loin, rassemblés pour boire. Il est tout à fait envisageable de voir des éléphants ou des rhinocéros, des girafes, des autruches, des oryx, zèbres, phacochères, springboks et leurs escortes de prédateurs. Les flamants sont présents pendant la saison des pluies. Par contre, les vautours remplissent leur fonction d’équarisseur vigilant sans distraction ni vacances : vautour oricou, gyps africain, néophron moine. Braves et indispensables travailleurs.
Route pour Grootberg. Installation pour deux nuits au bord du plateau de l’Etendeka. Du lodge, la vue sur la vallée de la Klip River est époustouflante. Le paysage est ample, régulier, puissant. Un bel ordre géologique. Vous posez vos malles dans un pavillon de pierre. La roche sombre donne à l’environnement une intensité dramatique. Votre particulier est confortable, africain classique. La galerie extérieure est propice à la contemplation. Le restaurant sert une cuisine sympathique et variée. Au bar, on se raconte ses aventures dans le bush. La piscine efface les fatigues.
Au programme - Sur la trace des éléphants du désert. Ce sont des animaux de savane, Loxodonta africana, adaptés aux conditions arides. Peu de différences morphologiques avec les autres, mais une aptitude sans pareille à trouver l’eau indispensable à toute survie. Acacias, mopanes, la feuillaison leur est favorable et leur permet de se nourrir à bon compte. Dans un véhicule adapté, avec un guide anglophone, vous en observez de petits groupes vaquant à leurs occupations : attraper des rameaux frais, écorcer un tronc, bain de poussière cosmétique. Ils ont beau être un peu plus déliés que leurs cousins du bush, ils sont quand même monumentaux. Une forme de respect gagne le safari à la vue de ces grandes bêtes résilientes.
Route pour Omaruru. Nuit au sud-ouest de la localité, dans un cadre impressionnant de boulders empilés et d’escarpements arides. Les bungalows sont abrités par de grands toits de chaume gris. Les chambres, simplement aménagées, sont confortables. Et jolies. On a ses aises et un vrai plaisir d’être là. Toute l’intimité souhaitable aussi. Au restaurant, cuisine namibienne et internationale. Le bar est, comme ailleurs, le spot où échanger impressions d’Afrique et tuyaux. Dehors, piscine pour le jour et foyer pour le soir. Tout proche, un point d’eau autorise des observations facilitées.
Route pour Walvis Bay. Installation pour deux nuits dans un petit hameau regroupant quelques maisons d'architecte. Conrad Scheffer l'a conçu néo-industriel et coloré, durable également. Matériaux et principes de fonctionnement vont en ce sens. Le résultat combine avec bonheur rugosité et sophistication. Le répertoire de formes est varié ; il impulse une vraie dynamique esthétique. Architecture et décoration se distinguent peu l'une de l'autre. Elles forment une très plaisante unité. Dedans, on dispose d'une chambre, d'un living, salle de bain, cuisine sérieusement équipée, coin repas et barbecue, pour l'indispensable braai. C'est confortable à tous points de vue : au sens ordinaire, mais encore au sens augmenté que procurent originalité et beauté pertinente. Bars et restaurants sur le front de mer, donc next door.
Déjà prévu - Sandwich Harbour. À une cinquantaine de kilomètres au sud de Walvis Bay, c’est un endroit comme on en voit peu. D’un côté, l’Atlantique ; de l’autre, les hautes dunes du Namib-Naukluft Park. Pas n’importe quelle rencontre. Des colosses. Pour voir cela, on embarque dans un véhicule tout-terrain avec un chauffeur expert et un guide anglophone. Le sable à ce point-là demande un vrai savoir-faire. Une zone intermédiaire humide, qui entretient une abondante avifaune, est classée site Ramsar. On y voit en bandes le cormoran du Cap, le flamant rose, le flamant nain, la sterne pierregarin, le pluvier élégant ou le bécasseau corcoli. Entre autres.
En option - Kayak à Pelican Point.
Route pour Sesriem. Installation pour deux nuits 30 kilomètres au sud-est. Le lodge est composé d’une vieille ferme et de maisonnettes de pierre, simples et confortables. On y dispose de sa propre salle d’eau et de son porch pour la méditation. Tout autour s’étendent les abords du parc. Le restaurant sert chaque jour une cuisine africaine qui regarde parfois vers les Amériques. La décoration du salon (doté de canapés cuir dodus) a discrètement recours à l’artisanat traditionnel. Pour le délassement, la piscine extérieure est une ressource.
En option - Tout-terrain au coucher du soleil.
Par Sesriem, on entre dans le Namib-Naukluft National Park, le plus étendu des parcs africains : 49 768 km², un peu plus grand que la Slovaquie. Hors frange atlantique, l’aridité y est générale, quasi absolue dans certaines zones. Faune et flore ont développé là des techniques de survie dont certains éléments intéressent les secteurs de pointe de l’industrie humaine. Si l’outarde de Rüppel vit normalement pour une outarde, l’oryx gazelle dispose d’un système de thermorégulation high-tech. Quant au coléoptère Stenocara gracilipes, son dispositif de captation de l’humidité de l’air intéresse les chercheurs du MIT. Le secteur de Sossusvlei, désert de sel dans le désert de sable, est fameux pour sa mer de dunes. Celles-ci, composées de sable orangé sur lequel la lumière joue magnifiquement, atteignent des hauteurs supérieures à 300 mètres. Les acacias, qui opèrent comme de véritables puits de forage, vont chercher l’eau à des dizaines de mètres de profondeur. Ce paysage hors normes est abordable sans grande difficulté.
Route pour le sud. Installation pour deux nuits à l’ouest d’Helmeringhausen. La simplicité du lodge a un objectif principal : montrer que le luxe, en Namibie, c’est la Namibie. Pas besoin d’en faire trop. Néanmoins, on ne renonce pas à la couleur, aux rappels historiques ou aux aises, mais cela se fait sans affectation, même avec une pointe de rusticité. Pas déplacée dans le contexte. Ce qui doit primer, c’est le contact, avec la nature ou les autres. La table, par exemple, est envisagée sous un angle convivial : la nourriture, bien entendu, mais avec la conversation qui doit accompagner. Bref, une expérience humaine.
Au programme - La réserve privée du Namtib. Ce parc est conçu sur le modèle réserve de biosphère de l’Unesco. Il occupe plus de 16 000 hectares dans les montagnes Tiras, au bord du désert du Namib. Pendant trois heures, avec un guide anglophone, on en passe en revue, à bord d’un véhicule aménagé, les lieux-clés et les divers aspects. Élevage (chevaux, moutons) et faune sauvage (oryx, springbok, chacal à chabraque, otocyon, léopards, damans du Cap, etc.) notamment, mais aussi flore : faux dragonnier, un aloès arborescent, ou acacia erioloba, le giraffe thorn des britanniques, etc. Les conditions sont très favorables à la photographie.
Route pour Aus. Avec un brin de chance, on peut apercevoir des oréotragues dans les rochers, mais les chevaux sauvages sont la grande attraction du coin. Probablement déserteurs de l’armée allemande pendant la Première Guerre mondiale, ils ont adopté le désert, qu’un point d’eau aménagé au début du XXe siècle leur rend un peu moins rigoureux. Installation pour deux nuits à Lüderitz. L’hôtel donne sur la plage par ses jardins. On retrouve ici le standard international. Rien d’étonnant à signaler, mais des services bien rendus et fluides, et une piscine. Lüderitz, doyenne des villes de la Südwestafrica, a conservé de beaux exemples d’architecture allemande.
Le bourg fantôme de Kolmanskop, au sud-est de Lüderitz, rappelle la fièvre du diamant. Édifié en 1908, il connut son apogée dans les années 1920, l’extraction allant bon train. Certains pouvaient payer de belles maisons. Mais le diamant n’eut qu’un temps et le sable reprit progressivement ses droits. Aujourd’hui, les lieux sont entretenus - ou abandonnés à l’envahissement pulvérulent - en témoignage de l’impermanence des choses. À parcourir le site, on est étonné par ce qu’il révèle de services et d’opulence. La maison du directeur de la mine a fière allure et telle autre, à moitié engloutie par la dune, n’est pourtant pas mal non plus. La salle de gymnastique est au top de l’époque. Et la fabrique de glace devait l’être.
Route pour Fish River Canyon. Installation pour deux nuits dans le Gondwana Canyon Park, aux portes du canyon, qui est la plus étonnante des curiosités géologiques. Un joli jardin aménagé entre des amoncellements de boulders, des bungalows de pierre et de bois, une piscine extérieure configurent un lodge très plaisant. Les intérieurs tirent un bon parti de la nature des matériaux. Les chambres tournent à leur avantage - conception juste, excellente literie, présence de la roche - des volumes assez modestes. On y gagne d’occuper pleinement l’espace. Le granit saillant dans la douche crée une atmosphère spéciale. Dans le corps principal, vous retrouvez en guise de décoration tous les outils utilisés dans une ferme namibienne au début du siècle dernier. Petite touche vieillotte très rigolote. Les terrasses donnent sur la steppe.
Au programme - Tout-terrain autour du canyon. Avec un guide anglophone, on embarque dans un véhicule tout-terrain pour l’une des plus formidables formations géologiques du continent. La rivière Fish a creusé le plateau jusqu’à parfois plus de cinq cents mètres de profondeur. La piste va d’un point de vue à l’autre, qui combinent whouaou ! et informations sur la structure de la gorge. Grand spectacle minéral, la rivière étant, sinon à la fin de l’été, réduite à un chapelet d’étangs. Lequel permet néanmoins à des antilopes, des zèbres, des babouins, de nombreux rongeurs, de vivre là. Les oiseaux profitent eux aussi des secteurs humides, ainsi l’anhinga d’Afrique, le pélican blanc ou le pygargue vocifère. La flore a trouvé des solutions de peuplement. On admire notamment de grands faux dragonniers.
En option - Soleil levant sur le Gondwana Canyon Park.
Route pour Mariental. Nuit un peu au sud-est. Le lodge constitue une oasis dans un paysage semi-désertique immense. Deux plans d’eau, un trou pour les animaux et une piscine extérieure, permettent, celui-ci, délassement et, celui-là, observation commode de nombreuses espèces (dont le rhinocéros et le rare impala noir). La pelouse est impeccable. Le bâtiment principal est ample, couvert d’un chaume brun régulier. Architecture africaine moderne. Décoration à l’avenant. Votre tente vous procure un vrai confort, raccord avec l’environnement. Le restaurant, le grand bar, le service de massage sont tout à fait au point.
Route pour Windhoek. Nuit au château. L’édifice crénelé date de 1907 ; le comte Hans Bogislav von Schwerin lui a donné en 1916 le nom de son épouse, qu’il a gardé depuis. Jardin manucuré, murs de pierre, tour blanche, tout cela a beaucoup d’allure. Le bleu opalescent de la piscine apporte une note agréablement décalée. A l’intérieur, l’atmosphère aristocratique se précise, avec un tour design et contemporain bien senti. Les chambres offrent confort, espace, élégance. La salle à manger est au diapason ; lorsque le temps le permet, on dresse les tables sur la terrasse côté jardin. Dans ce cadre troubadour des antipodes, votre repas exhale un parfum romantique.
Rendu de la voiture à l’aéroport. Vol retour. Nuit à bord, arrivée le lendemain.
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