Pour quels voyageurs ?
Pour les voyageurs que le nom seul fait rêver depuis l’enfance ? Qui ont vu et revu le film mythique, et se sont dit chaque fois : « un jour, j’irai là-bas ! ». Pour les voyageurs qui veulent mettre leurs pas dans ceux de Cortez –qui a fondé ce port- et Burt Lancaster –qui y a joué du revolver. Pour celles et ceux, donc, qui savent que le moment est venu maintenant. Ils verront Veracruz ! Pour celles et ceux qui veulent de vraies vacances, du soleil, des plages, ce qu’il faut de vagues... Pour ceux et celles qui veulent d’abord se reposer mais aussi se ménager quelques escapades à la rencontre des splendeurs coloniales classées au patrimoine mondial de l’Unesco, et puis, au plus près de Golfe du Mexique, aller à la rencontre de ce qui fut la première civilisation d’Amérique Centrale. Pour celles et ceux qui veulent emmener leurs enfants avec eux, car ils vont adorer le pays du Serpent à plumes !
Ce que l’on trouve, et pas ailleurs ?
Des plages et des noms qui font rêver...
Cancun, Veracruz,
Merida,
Campeche... Du soleil et du sable fin... Et puis, peut-être surtout, l’opportunité rare de s’échapper, de prendre des chemins de traverse pour aller, tout près, à la rencontre d’un Mexique authentique. Partir ainsi à la découverte des civilisations du haut plateau central, au cœur des civilisations Olmèques et Totonaques. Des sites exceptionnels, uniques, comme la sublime cité coloniale de Tlaxcala, comme Jalapa ou encore comme El Tajin. Des levers de soleil uniques sur le Golfe du Mexique, la douceur de l’air, des eaux aussi claires et bleues que les teintes du ciel. Une douceur de vivre sans équivalent, et toujours cette opportunité, de passer du littoral au cœur de la civilisation précolombienne, puis coloniale. Ce serait un péché d’oublier de mentionner l’alcool tiré de l’agave... La Tequila. Suerte !
Vivre un moment unique
Ce sont des peintures murales. Il faut les admirer longtemps, se laisser entraîner, se laisser happer, et s’abîmer au plus profond dans leur contemplation. La subtilité et l’éclat mêlés des teintes, la matière des pigments, cette façon unique de capturer et de caresser à la fois la lumière. Ce besoin de reproduire, de dire, d’exprimer ce que fut la vie alors. Ce désir de laisser une trace. De le faire avec art et élégance. Il y a là, qui palpite encore, une émotion profonde qu’il faut absolument éprouver, comme on se relie à ceux qui nous ont précédé. Silhouettes, visages, scènes de vie toutes simples. Il faut les laisser un moment, les laisser agir en soi, puis revenir peu après. Il y a là, à Cacaxtla, des moments suspendus auxquels il faut s’attacher. Des instants magiques. Des instants uniques.